Semaine du 9 au 15 novembre 2015

Nouvelles de nos membres et de la Coalition

25 novembre 2015: Une journée pour + d’impact social

Une journée pour concevoir des solutions créatives afin de maximiser l’impact social de votre organisation, ça vous tente?
Le 25 novembre prochain, nous vous invitons, acteurs de l’économie sociale québécois, à nous rejoindre pour identifier ensemble les enjeux et opportunités qui s’offrent à nous et esquisser des solutions pour maximiser l’impact social de nos organisations, des secteurs d’activités dans lesquels elles oeuvrent et plus largement du mouvement de l’économie sociale.

Source : Chantier de l’économie sociale

Dossier spécial : Projet de loi 70 – Présentation

Présentation d’un projet de loi visant à permettre une meilleure adéquation entre la formation et l’emploi ainsi qu’à favoriser l’insertion en emploi

Le ministre du Travail, de l’Emploi et de la Solidarité sociale et ministre responsable de la région de la Capitale-Nationale, M. Sam Hamad, a présenté aujourd’hui à l’Assemblée nationale le projet de loi n° 70, Loi visant à permettre une meilleure adéquation entre la formation et l’emploi ainsi qu’à favoriser l’insertion en emploi. Parmi les mesures proposées figure la création du programme Objectif Emploi, qui s’adresserait aux personnes aptes au travail admissibles au Programme d’aide sociale qui font une première demande d’aide financière.

Source: CNW Telbec, publié le 10 novembre 2015

Québec annonce son intention d’exclure certains revenus provenant d’actifs reçus d’une succession du calcul des prestations de solidarité sociale

Le ministre du Travail, de l’Emploi et de la Solidarité sociale et ministre responsable de la région de la Capitale-Nationale, M. Sam Hamad, a annoncé aujourd’hui son intention d’apporter des modifications relatives à la comptabilisation des revenus provenant d’actifs reçus d’une succession dans le calcul des prestations de solidarité sociale. Cette proposition permettrait de bonifier le revenu disponible de certaines personnes aux prises avec des contraintes sévères à l’emploi, puisqu’il leur est plus difficile d’améliorer leur situation financière par l’obtention d’un revenu de travail.

Source: CNW Telbec, publié le 10 novembre 2015

Forcés de déménager là où l’emploi est offert – Québec veut obliger les nouveaux assistés sociaux à accepter «tout emploi convenable»

Le gouvernement Couillard forcera les nouveaux assistés sociaux à déménager là où il y a de l’emploi. Le ministre Sam Hamad veut obliger les nouveaux demandeurs d’aide sociale aptes au travail à suivre une formation de 12 à 24 mois d’intégration en emploi. En échange de leur participation au programme Objectif Emploi, un incitatif financier leur sera offert, qui s’ajoutera à leur chèque d’aide sociale.

Source: Journal de Montréal, publié le 10 novembre 2015

Projet de loi 70: Québec coupe les vivres aux nouveaux assistés sociaux aptes à l’emploi

Québec va couper les vivres aux nouveaux assistés sociaux aptes à travailler.

Une fois adopté le projet de loi 70, déposé mardi par le ministre Sam Hamad, les demandeurs de prestations d’aide sociale n’ayant aucune contrainte particulière devront obligatoirement s’inscrire à une démarche d’emploi, sous peine de pénalité financière. Ces derniers pourraient voir leur chèque d’aide sociale coupé de moitié, s’ils refusent de se chercher du travail.

Source : Le Devoir, publié le 11 novembre 2015

Aide sociale: Québec serre la vis aux nouveaux prestataires

Il sera beaucoup plus difficile de devenir prestataire de l’aide sociale au Québec, après l’adoption du projet de loi 70 déposé mardi à l’Assemblée nationale par le ministre de l’Emploi, Sam Hamad. Ceux qui frappent pour la première fois à la porte du programme de dernier recours ne pourront plus refuser un emploi «convenable» sans en subir les conséquences. Les récalcitrants pourraient perdre jusqu’à la moitié de leur prestation mensuelle.

Source : La Presse, publié le 11 novembre 2015

Confusion sur le sort d’Emploi-Québec

Il attire surtout l’attention parce qu’il limite l’accès à l’aide sociale, mais le projet de loi 70 déposé mardi par le ministre Sam Hamad efface aussi toute référence à Emploi-Québec dans la Loi sur le ministère de l’Emploi et de la Solidarité sociale (MESS), a constaté Le Devoir.

Source : Le Devoir.com, publié le 12 novembre 2015

Dossier spécial : Projet de loi 70 – Réactions

Aide sociale – Un projet de loi totalement inacceptable

« Le ministre Hamad s’attaque à la dignité des personnes les plus pauvres au Québec. Le projet de loi 70 qui veut couper les chèques de personnes qui ne participent pas à un parcours d’insertion est le comble de l’indécence et de l’inefficacité. Comment peut-on couper un chèque de 616$ par mois à des personnes qui survivent à peine avec ce maigre montant? Est-on encore au ministère de la solidarité sociale?», s’indigne Françoise David de Québec solidaire en réaction au dépôt du projet de loi 70.

Source : CNW Telbec, publié le 10 novembre 2015

PL 70 : un projet de loi courageux qui contribuera à mieux combler les besoins du marché du travail québécois

La Fédération des chambres de commerce du Québec (FCCQ) est heureuse du dépôt du projet de loi 70, qui vise à permettre une meilleure adéquation entre la formation et l’emploi et à mettre en œuvre des mesures favorisant un retour rapide des nouveaux prestataires d’aide sociale sur le marché du travail.

« L’intégration d’Emploi Québec au sein du ministère du Travail, de l’Emploi et de la Solidarité sociale s’inscrit dans les objectifs du gouvernement de réaliser des gains d’efficacité et d’efficience dans la prestation des services gouvernementaux. La FCCQ ne peut qu’appuyer cet objectif », affirme la présidente-directrice générale de l’organisation, Mme Françoise Bertrand, qui rappelle du même coup que la CPMT conserve des pouvoirs importants afin d’orienter le ministère dans ses démarches de développement de la main-d’œuvre en fonction des besoins réels des employeurs québécois.

Source : CNW Telbec, publié le 10 novembre 2015

Manufacturiers et Exportateurs du Québec appuie sans réserve le projet de loi du ministre Hamad sur une meilleure adéquation entre la formation et l’emploi

Manufacturiers et Exportateurs du Québec (MEQ) est heureux des orientations prises par le gouvernement du Québec pour favoriser une meilleure adéquation entre la formation et l’emploi, et qui sont exprimées dans le projet de loi 70 du ministre Sam Hamad déposé cet après-midi.

« Le gouvernement répond au vœu de la très grande majorité des entreprises manufacturières : pouvoir compter sur une main-d’œuvre qualifiée et en nombre suffisant », a dit le président Éric Tétrault. « Il en va de la compétitivité du Québec, au moment où nous entrons dans une ère de libéralisation de plus en plus grande des échanges commerciaux. Le gouvernement a fait de la main-d’œuvre qualifiée une priorité d’État, et nous le soutenons grandement dans ses efforts ».

Source : CNW Telbec, publié le 11 novembre 2015

La FCEI accueille favorablement les objectifs du projet de loi 70 visant une meilleure adéquation formation et emploi

La FCEI réagit favorablement au projet de loi no 70 déposé hier par le ministre du Travail, de l’Emploi et de la Solidarité sociale, M. Sam Hamad, qui permettra d’aider à mieux arrimer les besoins des employeurs avec la main-d’œuvre disponible.

Source : CNW Telbec, publié le 11 novembre 2015

Quand l’austérité s’attaque aux plus démunis

« Avec son projet de loi 70, le gouvernement de Philippe Couillard fait preuve d’une mesquinerie sans nom en s’en prenant aux plus démunis de la société », se révolte Dominique Daigneault, présidente du Conseil central du Montréal métropolitain (CCMM-CSN). « Le ministre Sam Hamad privilégie l’approche coercitive en menaçant de couper les vivres aux personnes qui reçoivent la maigre somme de 616 $ par mois, plutôt que d’apporter une aide concrète à des gens vivant déjà dans une très grande précarité », ajoute la porte-parole syndicale.

Source : CCMM, publié le 11 novembre 2015

Le retour des boubous macoutes, dénonce PKP

Le gouvernement Couillard décrète le retour des «boubous macoutes» avec ses nouvelles mesures visant les futurs assistés sociaux, dénonce le chef péquiste Pierre Karl Péladeau. Avec son projet de loi 70, le ministre Sam Hamad veut obliger les nouveaux demandeurs d’aide sociale aptes au travail à suivre une formation d’intégration en emploi, sous peine de voir leur chèque amputé. Plus encore, les participants devront accepter «tout emploi convenable» qui leur est proposé, même si ce job se trouve à plusieurs centaines de kilomètres de leur domicile.

Source: Journal de Montréal, publié le 11 novembre 2015

« L’aide sociale, c’est pas une partie de plaisir » – Françoise David

« Je plaide pour que l’on aide les gens à retourner en emploi, affirme Françoise David de Québec solidaire. « Ne croyez pas que je veuille que les gens restent à l’aide sociale. C’est la pauvreté assurée, l’aide sociale. C’est pas une partie de plaisir », affirme la députée de Gouin, opposée, tout comme le PQ, au projet de loi 70.

Ce projet entend amener les nouveaux demandeurs d’aide sociale, aptes à travailler, à participer à des programmes d’emploi, faute de quoi ils pourraient voir leurs prestations fondre de moitié.

Source : Radio-Canada.ca, publié le 11 novembre 2015

Le projet de loi 70 a raison de cibler l’adéquation formation-emploi comme levier essentiel pour l’intégration en emploi

La Chambre de commerce du Montréal métropolitain salue le dépôt du projet de loi 70 par le ministre du Travail, de l’Emploi et de la Solidarité sociale et ministre responsable de la région de la Capitale-Nationale, M. Sam Hamad, visant à permettre une meilleure adéquation entre la formation et l’emploi ainsi qu’à favoriser l’insertion en emploi.

Source: CNW Telbec, publié le 11 novembre 2015

Projet de loi no 70 sur la formation et l’emploi: Un des pires produits de l’austérité libérale

Les centrales syndicales unissent leurs voix pour exprimer leur rejet du projet de loi no 70, Loi visant à permettre une meilleure adéquation entre la formation et l’emploi ainsi qu’à favoriser l’intégration en emploi, déposé par le ministre Sam Hamad. En plus d’abolir Emploi-Québec, ce projet de loi fragilise la politique de l’emploi du Québec et, par la bande, propose d’instaurer une approche punitive envers les nouveaux demandeurs d’aide sociale qui s’inspire de la réforme de l’assurance-emploi imposée par le gouvernement Harper. Ce projet, un des pires de l’austérité libérale, permettrait d’épargner quelques millions de dollars sur le dos des plus pauvres parmi les démunis.

Source : CNW Telbec, publié le 12 novembre 2015

Limiter l’accès à l’aide sociale : Entrevue avec l’économiste Sylvie Morel

Source: Radio-Canada (Le 15-18), publié le 11 novembre 2015

Sam Hamad a raison

Le ministre du Travail, de l’Emploi et de la Solidarité sociale a affirmé qu’il fallait «briser le cercle vicieux de la pauvreté» et que les «programmes incitatifs n’ont pas donné les résultats souhaités auprès de cette clientèle». En cela, il a tout à fait raison.

Il y a effectivement un cercle de la pauvreté: les enfants de parents pauvres demeureront dans une large proportion pauvres. Comme les enfants de parents riches demeureront dans une large proportion privilégiés. D’autre part, les mesures visant les individus ne fonctionnent pas et ne fonctionneront jamais. Car ce cercle de la pauvreté constitue justement un problème structurel. Ce caractère systémique explique à la fois le cercle de la pauvreté et l’inefficacité des programmes individualisés. Cela s’appelle la reproduction des classes sociales. Sociologie économique 101.

Source: Journal de Montréal (Ianik Marcil), publié le 11 novembre 2015

Formation obligatoire pour les assistés sociaux: un accueil mitigé auprès des associations

Une association qui défend les droits des assistés sociaux croit que forcer les gens sur l’aide sociale à déménager pour avoir un emploi peut être une bonne idée si c’est bien fait. Les assistés sociaux devront avoir un logement fourni et de l’aide pour toutes les dépenses qu’un déménagement engendre, explique Solange Laliberté, présidente de l’Association pour la défense des droits sociaux du Montréal métropolitain.

Source: Journal de Montréal, publié le 11 novembre 2015

Le resserrement du programme d’aide sociale est mal reçu par les groupes d’aide de la Mauricie

Plusieurs organismes d’aide aux personnes pauvres de la Mauricie dénoncent le projet de loi déposé mardi par le gouvernement du Québec, qui rendra l’accès aux prestations d’aide sociale beaucoup plus difficile.

En vertu du projet de loi, les demandeurs devront obligatoirement accepter un emploi ou de la formation, sous peine de voir leurs prestations coupées de moitié.

Source: Radio-Canada, publié le 11 novembre 2015

Changement à l’aide sociale : la table d’action contre l’appauvrissement de l’Estrie questionne le projet de loi

La Table d’action contre l’appauvrissement de l’Estrie (TACAE) estime que le projet de loi du ministre Sam Hamad sur l’aide sociale s’attaque aux plus démunis et ne réduit en rien la pauvreté. Le gouvernement Couillard veut en limiter l’accès aux demandeurs jugés aptes à travailler.

L’organisme déplore que les assistés sociaux seront les victimes des compressions budgétaires. « La Table d’action contre l’appauvrissement de l’Estrie et Solidarité populaire Estrie trouve que la proposition du ministre Sam Hamad visant à pousser vers l’emploi les personnes faisant une première demande d’aide sociale, au moyen de pénalités financières s’attaque à la mauvaise cible et est inacceptable », peut-on lire dans une lettre envoyée aux médias.

Source: Radio-Canada, publié le 11 novembre 2015

La réforme de l’aide sociale inquiète l’Est du Québec

Des intervenants d’organismes sociaux de l’Est du Québec craignent l’impact du projet de loi 70 déposé hier par le ministre du Travail, Sam Hamad. Les nouveaux demandeurs de prestations d’aide sociale n’ayant aucune contrainte particulière devront obligatoirement s’inscrire à une démarche d’emploi, sous peine d’importante pénalité financière.

Source: Radio-Canada, publié le 11 novembre 2015

Chronique de Jean Lapierre: Hamad et les emplois forcés pour les assistés sociaux 

Source: 98,5FM, publié le 11 novembre 2015 (à compter de 4 minutes 10 secondes)

Coupes à l’aide sociale : la guerre aux pauvres continue

Québec a déposé un tout nouveau projet de loi cette semaine qui vise à réaliser des économies dans le budget de l’aide sociale. Dans le contexte général d’austérité, il n’y a pas grand-chose là pour surprendre. Avec le projet de loi 70, le ministre du Travail, de l’Emploi et de la Solidarité sociale Sam Hamad veut économiser jusqu’à 50 M$ par année à l’aide de programmes de diminution des prestations à ceux et celles qui reçoivent de l’aide sociale.

Source: Journal de Montréal (IRIS), publié le 12 novembre 2015

Hamadouer les pauvres

Alors que le taux de chômage ne cesse d’augmenter, que ce gouvernement ne cesse de couper en éducation, en formation et dans les services sociaux et communautaires, Sam Hamad veut forcer les personnes nouvellement inscrites à l’aide sociale à se former ou à occuper un emploi, n’importe lequel et n’importe où sous peine de coupures de leur prestation. Trouvez l’erreur!

Source: Journal de Montréal (Camil Bouchard), publié le 12 novembre 2015

Contraste frappant

Il ne serait que temporaire, le souffle d’air frais qui nous arrive d’Ottawa depuis l’élection d’un gouvernement libéral qui a été privé du pouvoir pendant une décennie et qui contraste avec l’atmosphère de plus en plus viciée qui règne à Québec.
Tout nouveau, tout beau, dit l’adage. Quoi qu’il en soit, l’arrivée de plusieurs jeunes ministres bien intentionnés à Ottawa force la comparaison avec la présence, à Québec, d’un gouvernement qui n’a eu qu’à profiter des erreurs de ses adversaires pour reprendre le pouvoir après seulement 18 mois dans l’opposition.

Source: Le Devoir, publié le 14 novembre 2015

Insertion et intégration en emploi

Des universitaires surqualifiés pour leur emploi

De plus en plus de jeunes diplômés universitaires sont surqualifiés pour leur travail, révèle une étude.

L’analyse effectuée par le bureau du Directeur parlementaire du budget (DPB) a également noté un déclin du taux de jeunes diplômés dont l’emploi équivaut à leur niveau d’éducation.

Source : Le Devoir.com, publie le 13 novembre 2015

Formation et éducation

De quelle formation les jeunes ont-ils besoin ?

Les 2 et 3 novembre derniers se déroulait à Boucherville un colloque international sur la main-d’oeuvre qualifiée. À cette occasion, M. Éric Tétrault, porte-parole de Manufacturiers et Exportateurs du Québec, déclarait : « Il faut que notre système d’éducation au complet se mette au service de l’économie. » Si les entreprises veulent profiter des récentes ententes commerciales tels le Partenariat transpacifique et l’accord de libre-échange avec l’Europe, elles doivent être plus concurrentielles et la formation de la main-d’oeuvre est au coeur de l’équation, résumait Le Devoir du 3 novembre.

Source : Le Devoir.com, publié le 14 novembre 2015

Des compétences communes pour tous

« Il s’agit d’un ensemble de compétences que les étudiants à la maîtrise et au doctorat doivent posséder au terme de leur formation et qu’ils seront en mesure d’utiliser sur le marché du travail, peu importe leur domaine de discipline ou leur université », explique Marie Audette, vice-rectrice adjointe à la recherche et à la création de l’Université Laval. Elle a piloté les travaux d’un sous-comité de l’Association des doyens des études supérieures au Québec (ADESAQ) qui a développé ledit référentiel.

Source : Le Devoir.com, publié le 14 novembre 2105

Promotion et défense des droits

Négociations: le Front commun poursuit ses grèves

Les 400 000 travailleurs du secteur public, membres du Front commun intersyndical, entameront lundi une seconde série de grèves tournantes afin de parvenir à un règlement négocié avec le gouvernement. Les syndicats ont décidé de poursuivre leurs moyens de pression, malgré les nouvelles offres présentées vendredi par le Conseil du trésor.

Source : Le Devoir, publié le 9 novembre 2015

Sommet 2015 sur la culture philanthropique – Justice sociale et philanthropie, une relation tendue

C’est cette semaine que différents acteurs du milieu philanthropique se réuniront à Montréal dans le cadre du Sommet 2015 sur la culture philanthropique. Organisé par l’Institut Mallet, cet événement convie organismes, fondations, entreprises et institutions à venir discuter d’une série d’enjeux reliés au don, à la bienfaisance et à l’action bénévole.

Source : Le Devoir, publié le 10 novembre 2015

Les groupes de défense de droits seront financés

En attente depuis avril, neuf groupes communautaires en défense de droits de la région ont finalement obtenu le renouvellement de leur financement par Québec pour les trois prochaines années.

«Le 2 novembre, le Regroupement des organismes en défense collective des droits s’est assis avec le ministre Sam Hamad (Travail, Emploi et Solidarité sociale) et rien ne laissait entrevoir qu’il voulait signer à nouveau une entente. Finalement, le 6 novembre, on se fait confirmer le renouvellement pour trois ans. C’est certainement une bonne nouvelle pour la défense de droits. On croit sincèrement que nos luttes des derniers temps nous auront permis de préserver nos acquis», affirme Danik Laporte, du Regroupement d’éducation population d’Abitibi-Témiscamingue (REPAT).

Source : L’Écho Abitibien.ca, publié le 10 novembre 2015

Développement local et communautaire

Ça roule avec l’économie sociale!

Dans le cadre du mois de l’économie sociale, un déjeuner-réseautage a eu lieu à l’entreprise Vélos de quartiers. Cette activité avait pour but de réunir les gestionnaires d’entreprises d’économie sociale et partenaires afin de leur faire découvrir le fonctionnement et les installations de l’entreprise « Vélos de quartiers ».

Source : Portail économie sociale, publié le 12 novembre 2015

Économie – Finances – Travail

L’OCDE a une vision toujours plus sombre de l’économie mondiale

L’OCDE a revu en baisse lundi ses prévisions de croissance mondiale, pour la deuxième fois en trois mois, et même laissé planer le spectre d’une récession.

L’Organisation de coopération et de développement économiques attend désormais une croissance mondiale de 2,9 % cette année, contre 3 % espérés auparavant, puis 3,3 % l’an prochain, contre 3,6 % attendus auparavant. En 2017, elle devrait accélérer un peu, à 3,6 %, selon l’OCDE.

Source : Le Devoir, publié le 10 novembre 2015

Sommet de 447 700 emplois en octobre à Québec

Le mois d’octobre a été favorable au marché du travail dans la région de Québec. La Capitale a enregistré 447 700 emplois, un gain de 2700 par rapport à septembre. Ce gain lui a permis de mettre fin à trois baisses mensuelles consécutives, mais surtout, d’atteindre un nouveau sommet mensuel.

Source : Quebechebdo.com publié le 9 novembre 2015 

Le marché de l’emploi pourrait ressentir l’effet Trudeau

L’arrivée au pouvoir de Justin Trudeau pourrait avoir des impacts à brève échéance sur le marché du travail si les engagements promis durant l’élection se matérialisent, a avancé la direction de Randstad Canada, une entreprise spécialisée en placement de personnel.

Source : Journal de Montréal, publié le 10 novembre 2015

Perspectives économiques « assombries » au Canada

Les projections économiques et financières «se sont assombries» depuis avril, selon le directeur parlementaire du budget (DPB) à Ottawa qui croit que le Produit intérieur brut réel du Canada devrait se maintenir à un niveau inférieur à son potentiel jusqu’en 2019.

Source : TVANouvelles.ca, publié le 10 novembre 2015

Les employés du secteur privé n’ont rien à envier à ceux du public

Le fait de travailler dans le secteur public ou dans le secteur privé n’a pas d’impact sur la qualité d’emploi, rapporte l’Institut de la statistique du Québec.

La meilleure qualité générale des emplois du secteur public ne tient pas à la nature de l’employeur, mais aux types de tâches, de professions et de travailleurs qu’on y retrouve, conclut une étude de 90 pages dévoilée la semaine dernière par l’ISQ. Autrement dit, les mêmes types de tâches, de professions et de travailleurs bénéficient globalement d’aussi bonnes conditions d’emploi dans le secteur privé.

Source : Le Devoir.com, publié le 12 novembre 2015